jeudi 19 novembre 2009

Last one

Ayé, c'est fini. La suite c'est là :

samedi 14 novembre 2009

Danton, fais moi l'amouuuuur


A l'heure où les gens se révèlent être des déceptions, Danton, lui, reste égal à lui-même : Danton. On attendait son album depuis l'annonce de sa sortie fin août, impatiemment. Premier extrait difficile d'accès, comme à son habitude, "Give Me Pain", mais relativement imparable après plusieurs écoutes nécessaires pour rentrer dans le morceau. Mi-octobre, après avoir fait les lèches-cul auprès du label (voir la suite), kekia dans la boîte mail? Yes Is More ! Hop, ni une ni deux, on stoppe toute activité superflue pour se concentrer sur l'écoute du précieux. Bon, on va pas faire durer le suspense plus longtemps, grosse claque. On aurait pu attendre Juju (pour les intimes) sur son terrain de prédilection, le deïnseflore. Que nenni, enfin si, quand même un peu. L'album oscille entre pop et techno, seule la classe est présente tout du long. Il va sans dire que la rencontre entre Eeprom et Erika Forster d'Au Revoir Simone laissait présager le meilleur, et c'est presque naturellement qu'à la sortie on se retrouve ni plus ni moins avec le titre de l'année "Lost In Music" (PaulO je t'emmerde, ce morceau est parfait). Pour ce qui est de l'autre facette, le côté transpirant de ce premier opus plus que réussi, "Tight" satisfera les emmerdeurs comme moi (Easy music for the hard to please, ça te dit quelque chose?), et forcément, all time classic, "Confessions Of An English Opium Eater" est de la partie. Je vais pas vous décrire tout l'album, il sort lundi et vous irez l'acheter bien gentiment, pour me faire plaisir.
Bon, l'histoire ne s'arrête pas là. Release party de l'album au Rex, Fondation Black, toussa toussa quoi. Guest list, ouais, je me la pète. Soirée complètement dingue, bien entamés par la doublette Meyer / More, on se prend le live de Danton en pleine gueule, éprouvant. Puis, comme si ça ne suffisait pas, les deux gouffamen que sont Jamie Jones et Seth Troxler (prenez deux jamaïcains généreusement fournis capilairement parlant, foutez les dans la cabine DJ du Rex, grosse techno en fond sonore, et vous aurez une idée de la chose) nous ont achevé pendant plus de 3h... Dingue.
Et pour clore notre petit moment Danton Eeprom, je peux d'ores et déjà vous annoncer que l'arrivée prochaine de la suite de ce blog qui dépérit sera accompagnée d'une petite interview du bonhomme, et ça risque d'être assez dantesque (mouahahah). Pour le coup, je suis pas peu fier de moi, comme quoi tout arrive.

Conclusion : Danton Eeprom est mon héros, mais ça on le savait déjà.

Bon, musicalement parlant, je vous aurais bien laissé un des titres dudit album mais je tiens pas à me faire taper sur les doigts par Infiné, c'est un peu le revers de la médaille. Pour me faire pardonner, une version 320 de son remix pour Röyksopp que j'ai acheté spécialement sur Beatport, en bon pigeon que je suis, mais bon, quand on aime on ne compte pas hein...

jeudi 12 novembre 2009

mardi 10 novembre 2009

Bawikoi


17 minutes de rêve en barres. Prends et va-t'en.


We've just done something HUGE.